The Garden of Sisterhood | MAYANGA
L'histoire du « Garden of Sisterhood » se poursuit, cette fois en musique. Le 30 mars, Fally Ipupa sort « MAYANGA », un clip vidéo produit par Vlisco en collaboration avec l'artiste congolais.
-
Une voix qui transcende les frontières, Fally combine, de façon caractéristique, une rumba expressive à une mélodie plus contemporaine, créant un hymne pour la femme Vlisco.
-
Tourné en Côte d'Ivoire, entre Abidjan et Grand-Bassam, le clip vidéo prolonge la vision de la campagne au-delà de la mode. Grâce à la musique de Fally Ipupa, au langage visuel poétique de Daniel Obasi et aux silhouettes saisissantes de Loza Maléombho, « MAYANGA » se déploie comme une ode à l'identité et à la beauté qui s'épanouit lorsque les femmes s'unissent.
La soie de Vlisco en édition limitée, vu sur Fally Ipupa.
Découvrez-en plus et pré-commandez dès maintenant.
-
Chemise à col cubain
100% soie. Imprimé en Italie.
Conçu pour une coupe surdimensionnée
-
Pantalon à cordon de serrage
100% soie. Imprimé en Italie.
Pantalon droit décontracté, fourche basse
Subscribe and stay updated updates of future Silk Exclusives
Dès les premières notes, « MAYANGA » exprime l'admiration - une lettre d'amour aux femmes africaines, à leur beauté et à la confiance qu'elles dégagent en portant les tissus Vlisco. C'est une chanson de reconnaissance et de célébration, qui fait écho à l'essence du « Garden of Sisterhood » : un monde où les femmes s'élèvent les unes les autres et où la beauté est partagée.
L’inspiration vient des imprimés
Pour Loza Maléombho, la mode est plus qu'un simple vêtement - c'est une forme d'identité, une affirmation de confiance, une histoire en mouvement. Ses créations pour « MAYANGA » reflètent cette vision, où les imprimés caractéristiques de Vlisco dictent les silhouettes, créant des pièces à la fois audacieuses et royales. Des manches sculpturales, des drapés fluides et des formes structurées façonnent la mode de cette campagne, conférant aux imprimés une symbolique de pouvoir.
Élevée en Côte d'Ivoire, Maléombho a grandi entourée de tissus imprimés - portés par sa mère, sa grand-mère, ses tantes. Le rythme des motifs, la répétition des dessins, l'éclat des couleurs - ces éléments ont façonné son identité créative, s'infiltrant subtilement dans ses créations même lorsqu'elle travaillait d’autres matières que l'imprimé : « Cela fait partie de mon héritage, du langage visuel que je porte en moi ». Avec « MAYANGA », la boucle est bouclée : ses silhouettes structurées rencontrent le langage intemporel du design Vlisco.
La vision cinématographique de Daniel Obasi
Le réalisateur et artiste pluridisciplinaire nigérian Daniel Obasi donne vie à ce monde. Sa narration visuelle onirique et puissante transforme « MAYANGA » en « une célébration des femmes d'une manière qui semble à la fois intime et universelle ».
-
"Lorsque j'ai vu l'imprimé pour la première fois, j'ai été attirée par les couleurs - la façon dont elles formaient une grappe de pétales, superposés en différentes nuances et segments. Cela semblait vivant, comme un bouquet en mouvement. C'est ce qui a immédiatement donné forme à l'histoire".
-
Pour Obasi, la réalisation de ce film était tout aussi importante que le produit final. « MAYANGA » est devenu une collaboration panafricaine, réunissant des forces créatives du Nigeria, du Ghana, de la Côte d'Ivoire et du Congo. La production elle-même a reflété l'esprit de sororité, d'unité et de culture partagée, où la vision de chacun s'est unie pour raconter une histoire à la fois personnelle et globale.

Des artistes de différents pays d'Afrique de l'Ouest se sont réunis pour raconter une histoire qui rend hommage aux femmes de notre vie.
" Qu'il s'agisse de nos mères, de nos sœurs, de nos amies ou de nos collègues, nous partageons tous ce lien profond. Pour moi, il s'agit là d'une histoire incroyablement forte, qui rassemble toute cette énergie, tant à l'écran qu'en dehors.”
Au-delà de la mode ou de la musique, l'objectif d'Obasi capture l'énergie de la célébration, le sentiment d'une communauté puissante. Les femmes du film se déplacent avec confiance, dansent avec joie et vivent dans un espace où elles sont célébrées.
"Ce projet visait à créer un monde où les femmes sont vraiment vues, où leur présence est honorée. Je voulais que le film donne l'impression de boire un grand verre de jus d'orange frais, comme si quelqu'un vous tendait un bouquet de fleurs que vous ne pouvez pas vous empêcher d'admirer. Un moment auquel on veut s'accrocher".